Humanité(s)-Vers une culture de la rencontre

HUMANITÉ(S)

Le Projet « Humanité(s) »

Qu’est-ce que c’est?

Ce projet, fruit de la rencontre entre trois amis, consiste en une démarche artistique née d’un désir commun: aller vers l’autre, vivre de belles rencontres et en tirer des portraits où nous associerons le récit littéraire (le portrait écrit) avec l’expression artistique à travers la photographie, la peinture, le dessin et bientôt la vidéo. 

Notre but sera, humblement, de dépeindre des tranches de vies, raconter notre époque à partir de ce que nous percevons du vécu de ceux et celles que nous rencontrons. Par le biais de ces portraits, nous tenterons d’aborder divers sujets  contemporains qui nous sont chers tels que la culture, la mémoire, l’identité, la diversité, les inégalités, la justice, l’écologie, la santé etc.

Les personnes rencontrées seront choisies pour leurs qualités et leurs valeurs humaines supposées, la singularité de leur histoire ou pour ce que leur témoignage raconte de notre époque.

« Ni rire, ni pleurer, ni haïr mais comprendre », écrivait Baruch Spinoza dans son Traité politique: nous reprenons volontiers cette maxime à notre compte.

Au fond, nous cherchons simplement un moyen de nous ouvrir d’avantage à la connaissance des autres, à créer une passerelle en rendant cette démarche publique et tout à fait gratuite à travers le prisme de nos arts respectifs et ceci afin de lutter contre la tentation, que nous partageons tous, de nous replier sur nous-même et nos indéfectibles certitudes.

Nous nous appliquerons alors à cultiver, à notre modeste niveau, et partout où nous pourrons, une culture de la rencontre.

Qui sommes-nous?

Nous sommes un collectif d’artistes tour à tour artisans, militants, et journalistes de la RENCONTRE.

Des ARTISANS parce que nous vivons des rencontres et nous en partageons le fruit auprès de notre lectorat, à travers des portraits réalisés au moyens de nos arts respectifs (photo, littérature, arts platiques).

Des MILITANTS parce que nous souhaitons inspirer les pouvoirs publics et les décideurs économiques à notre mesure, de sorte qu’ils structurent peu à peu la société de façon à faciliter les rencontres individuelles entre personnes issues de divers pans de la société.

Des JOURNALISTES parce que nous voulons confronter nos utopies aux réalités mouvantes et complexes de nos sociétés et en rendre compte.

Nous entendons inscrire notre travail dans un cadre associatif à travers la constitution d’une association dont les statuts pourront prévoir (nous confirmerons ce point ultérieurement) la possibilité de faire évoluer celle-ci vers une structure de type coopérative.

Steve Lauper